Michel François : côté perso

Je suis né le 23 octobre 1964, dans la Marne (51), à Vitry-le-François.

J’ai grandi dans une famille modeste où je n’ai jamais manqué de rien, et surtout pas de l’essentiel : l’amour et le soutien de mes parents et de mes deux frères.

J’ai passé mon enfance dans un village d’une centaine d’habitants où tout le monde se connaissait et s’entraidait… l’apprentissage de la solidarité !

Mes études primaires et secondaires se sont déroulées dans ma ville natale (20 000 habitants). Puis mes études supérieures en commerce, gestion et administration des entreprises, m’ont ensuite amené dans deux capitales régionales : Reims, en premier lieu, puis Poitiers où j’ai posé mes valises il y a plus de 30 ans.

Depuis, le Poitou-Charentes est devenu ‘’ma’’ région et la Vienne l’espace où j’ai construit ma vie : j’y ai fait mes études, fondé une famille, trouvé la plupart de mes amis, créé et développé une entreprise… autant dire que mon attachement à ce territoire est profond. Et que dire de mon attachement à Dissay! 

Avec Véronique, mon épouse, nous avons choisi d’acheter une maison à Dissay en 1993. Cette commune nous a d’emblée séduite pour de multiples raisons, parmi lesquelles la qualité de son environnement naturel, le charme de son centre-bourg, la place accordée au lien social et à l’éducation… un endroit idéal pour élever nos deux fils, Matthieu et Benjamin, aujourd’hui 23 et 19 ans. D’ailleurs l’un et l’autre ont pu profiter de la qualité des écoles de Dissay, et de la richesse des activités proposées sur la commune : football, judo, musique, accueil jeunes, CCJ…

Notre attachement familial à Dissay s’est manifesté par un investissement dans la vie communale, dans sa communauté éducative, ses associations… engagements sur lesquels je reviendrai dans un autre article.

Mais je ne peux terminer ce portrait un peu plus personnel sans évoquer une dimension qui, plus qu’un centre d’intérêt ou une passion, constitue probablement mon ADN et celui de ma famille : la musique ! 

Violoniste depuis l’âge de 9 ans, j’ai participé pendant un bon quart de siècle à de très nombreux concerts, en orchestre ou en soliste… et si, depuis quelques années, la pratique intensive a laissé place à d’autres activités tout aussi prenantes (comme l’action municipale !), le plaisir d’écouter, de partager, de vibrer est toujours intact. 

La musique, c’est que du bonheur !